S’il fallait risquer une définition de la droite en quelques mouvements, forcément hasardeux parce que réducteurs, nous pourrions dire qu’elle se retourne sur ce qui a eu lieu et qui continue d’exister, qu’elle jette un regard à la fois en arrière et sur l’ici-bas sans jamais vraiment regarder en avant, forte de son mépris pour ce qui n’existe pas ; nous ajouterions qu’elle sait aussi l’homme peccable, sinon peccamineux, méchant sous quelque latitude qu’il se trouve et que le mieux que l’on découvre chez lui relève toujours d’une espèce de surprise que la politique n’a pas vocation à expliquer.
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