Les premiers films aiment la jeunesse qui forme le regard. Dans Panopticon, George Sikharulikdze suit Sandro, apprenti footballeur clivé entre son père devenu moine – on est en Géorgie – et sa mère chanteuse d’opéra expatriée à New York. L’étude de caractère ouvre sur celle d’un pays en crise, entre repli sur soi et modernité. Sa part d’exotisme pour un spectateur occidental – notamment sur la place de la religion orthodoxe – est très vite tempérée par le poids du scénario qui ménage un peu trop les rimes comme il faut. […]
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