La sortie de l’album « Crowley & Me » par Twink et Jon Powey, deux survivants des Pretty Things, groupe rock 60’s britannique, sous le nom « Star Sponge vision » nous donne l’occasion d’analyser l’influence, dans le show biz de celui qui était surnommé « l’homme le plus malsain au monde »… Ou l’histoire d’un culte qui, bien que « démoniaque », a plus à voir avec l’homme moderne libéral-libertaire qu’avec le sacrifice de jeunes vierges.
Le souci, lorsqu’on évoque le nom d’Aleister Crowley, c’est qu’on touche, en même temps, à tout ce qui se rapproche d’un culte satanique dans le rock. On est vite confronté à deux impasses irraisonnables : d’un côté certains chrétiens à tendance conspirationniste, qui voient des cérémonies sataniques partout… et de l’autre les « métalleux » adeptes du Hellfest qui jouent avec les symboles démoniaques sous prétexte que ceux-ci sont antisociaux. Dans un tel capharnaüm flirtant avec la confusion mentale, il convient de séparer les faits des discours et phantasmes d’un certain « folklore » rock (...)
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !