Alexandre Brandy est-il ce jeune homme qui se fit passer pour le neveu d’Hariri, de Kadhafi, d’Assad, par jeu? A-t-il fini par braquer le coffre d’une femme riche dont il disait vouloir acheter la maison dans le seizième arrondissement de Paris, en 2006, avant de passer quelque temps en prison ?
Ce qu’il raconte dans son premier roman, Il y a longtemps que je mens, est plausible et bien amené, doit-on pour autant y croire et faire confiance à un homme qui se présente comme un menteur? La photo d’un portrait-robot tamponné par la préfecture de police qui est placée sur papier glacé en première de couverture du roman et la reproduction d’une (soi-disant) dépêche AFP en exergue du roman suffisent-elles à convaincre que tout ce qui y est écrit est le reflet de la vérité ?
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