Son amour pour l’Italie n’est pas feint. Lorsqu’Alexandre del Valle fait du café agrémenté de chocolat, c’est toujours dans une authentique cafetière Moka. Posés à côté de l’instrument traditionnel, trois smartphones. Alexandre del Valle en ramassera deux pour aller ouvrir sa porte au photographe. « C’est une mesure de sécurité », explique-t-il courtoisement. « Je vous fais confiance, mais un protocole est un protocole. » L’homme est un savoureux mélange de charnel et de virtuel, aussi à l’aise avec un iPhone qu’avec une guitare. Un instrument dont il a appris à jouer dans les rues marseillaises avec les gitans, dans les années 1970.
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