J’entends régulièrement, ici ou là, que le sujet majeur, la ligne rouge, serait la légalisation de la gestation pour autrui (GPA). Et donc, si Emmanuel Macron est favorable à la procréation médicalement assistée (PMA) pour les femmes célibataires et lesbiennes, le fait qu’il se déclare opposé à la GPA serait rassurant : « L’essentiel est sauf, tout va bien, dormez braves gens ! »
En réalité, le saut anthropologique, le détournement de la médecine, la logique transhumaniste, sont bien l’apanage de la PMA sans père. La GPA n’est « que » le pas suivant. La procréation médicalement assistée (PMA) est un ensemble de techniques mises au point pour aider des couples souffrant d’une pathologie de la fertilité à concevoir un enfant ou des couples susceptibles de transmettre une maladie d’une « particulière gravité » à l’enfant s’ils concevaient naturellement (…)
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