Même si elle reste discrète, voire secrète dans ses pratiques, la franc-maçonnerie incarne pour ses affiliés « frères et sœurs » une image de tolérance fondée sur le triptyque des valeurs républicaines affichées sur le fronton de nos bâtiments institutionnels. Pour ses adversaires déclarés, la franc-maçonnerie est une société secrète qui influence les politiques, surtout de gauche, pour faire voter des lois progressistes. À vrai dire, il existe autant de franc-maçonneries que d’obédiences et il faudrait distinguer les loges de tendance sociétale (comme le Grand orient ou le Droit humain) et celles de tendance symboliques (comme la Grande loge nationale française, GLNF).
Dans une de ces loges, une exclusion d’ordre hautement politique a eu lieu, restée confidentielle, mais qui devrait faire davantage parler.
La logique de toute entité est le refus de l’exclusion, sauf si un membre de la communauté trahit la confiance ou commet un acte rendant impossible son maintien au sein du groupe : depuis la nuit des temps, chaque groupe d’hommes suit cette règle. [...]
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