Il est des films mort-nés qui se résument à leur argument. Dans L’Été nucléaire, d’anciens amis d’enfance tentent de se protéger après un accident de centrale en se réfugiant dans une ferme. Hélas, les riches fragrances du film de survivant n’auront pas pu traverser l’Atlantique sans s’affadir chez nous. Dès les premières répliques, après une sortie de route, on sait que le film ne quittera jamais le bas-côté, celui d’un antique feuilleton AB production moins les rires enregistrés. [...]
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