Depuis 2015 et l’accélération de la crise migratoire, rien ne va plus en Europe. Ce fut d’abord le groupe de Visegrad, sous la houlette de Victor Orban et des conservateurs polonais, qui mena la fronde contre les lubies d’Angela Merkel. Ils furent rejoints en 2017 par l’Autriche de Sébastien Kurz puis par l’Italie de Matteo Salvini en 2018. Si le vent d’Est continue de souffler, la question peut se poser : les libéraux sans frontière peuvent-ils perdre leur majorité au Parlement de Strasbourg au printemps 2019 ? Les élections en Bavière, après celles, à moitié manquées, de la Suède, vont donner une première tendance.
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