On ne l’aurait pas cru au départ, mais un roman de François Bégaudeau, La Blessure, la vraie, a occupé dix années de la vie créative d’un des cinéastes les plus reconnus en France, Abdellatif Kechiche. Avec un résultat plus que mitigé, bien que l’adaptation soit libre comme l’oiseau et étirée à n’en plus finir. Si le premier volet : Mektoub my love : canto uno (2018) redressait un peu la barre après deux très mauvais films volontaristes et épuisants, Venus noire (2010) et La Vie d’Adèle : chapitres 1 et 2 (2013), cette seconde partie, Canto due, s’avère le nadir absolu de sa carrière. […]
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