Que Robert Eggers ait été hissé en trois films et quelques années pape de « l’elevated horror », c’est-à-dire d’un cinéma de genre auto-proclamé « intello » et en phase avec les problématiques de son époque, a de quoi faire sourire. Film après film, le réalisateur américain se montre au contraire un cinéaste particulièrement bourrin, généralement dénué de toute idée de mise en scène (voire le catastrophique filmage vidéoludique de The Northman), se contentant d’agréger les références mal digérées au fil de films-collages particulièrement crétins, qui éludent toute étrangeté au profit d’une mise en image publicitaire. [...]
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