Le verdict tant attendu de la commission des privilèges (privileges committee), chargée d’enquêter sur les fêtes organisées par Boris Johnson durant les confinements d’avril à décembre 2020, est finalement tombé lundi soir. Après de longues heures de débat, les parlementaires, conservateurs et travaillistes, ont adopté le rapport de la commission des privilèges, publié jeudi dernier. Le verdict est sans appel : l’ancien Premier ministre a bien menti au Parlement britannique en niant à plusieurs reprises devant les parlementaires que l’organisation de fêtes dans ses bureaux du 10 Downing Street était illégale. BoJo voit désormais ses droits d’ancien député suspendus et ne pourra donc plus se rendre dans l’enceinte du Parlement de Westminster. Une sanction rare pour un ancien Premier ministre et qui vient peut-être clore les polémiques indéfinies suscitées par l’affaire du partygate. [...]
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