uelle était votre fonction à votre arrivée en 2005 en Côte d’Ivoire ?
J’étais à la fois le chef de corps du 13e bataillon de chasseurs alpins et le patron du groupement tactique interarmes 2. Au total, j’avais sous mes ordres 800 hommes. Notre mission était de faire respecter les accords de paix de Marcoussis. Nous devions maintenir l’ordre dans une zone démilitarisée, dite « zone de confiance », qui séparait les loyalistes du sud (président Gbagbo) des forces rebelles du nord. Cette « zone de confiance » qui allait d’ouest en est était grande comme plusieurs départements français. Nous intervenions en second rideau, derrière les casques bleus de l’ONU dont la majorité était des Bangladeshis. [...]
J’étais à la fois le chef de corps du 13e bataillon de chasseurs alpins et le patron du groupement tactique interarmes 2. Au total, j’avais sous mes ordres 800 hommes. Notre mission était de faire respecter les accords de paix de Marcoussis. Nous devions maintenir l’ordre dans une zone démilitarisée, dite « zone de confiance », qui séparait les loyalistes du sud (président Gbagbo) des forces rebelles du nord. Cette « zone de confiance » qui allait d’ouest en est était grande comme plusieurs départements français. Nous intervenions en second rideau, derrière les casques bleus de l’ONU dont la majorité était des Bangladeshis. [...]
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