Christian, conservateur d’un musée d’art contemporain installé au palais royal de Stockholm, prépare sa prochaine exposition, intitulée « The Square » : un carré de pavés bordé de lumières incitant le visiteur à la bienveillance et au vivre-ensemble. Mais rien ne se passe comme prévu.
Pour une fois, le jury présidé par Pedro Almodovar ne s’est pas trompé. En attribuant la Palme d’or à The Square de Ruben Östlund, le Festival de Cannes retrouve un rôle qu’il avait longtemps oublié : mettre en lumière des films qui bousculent et des réalisateurs affranchis d’un conformisme culturellement destructeur. Ruben Östlund plante d’emblée le décor (...)
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