On discerne pas mal de références élégantes dans l’anodin et effiloché Vingt Dieux, premier film de Louise Courvoisier : comme à l’apprenti-fondeur d’Andreï Roublev de Tarkovski, mais qu’elle aurait plongé dans un conte de Canterbury. Un jeune agriculteur doit redresser l’exploitation familiale après la mort de son père et décide de participer au concours du meilleur Comté. Il fait voler du lait par ses complices à une consœur, géante baudelairienne, dont il lèche le sexe à odeur « de vache » (sic) pour la divertir de la rapine. [...]
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