Que ceux qui n’ont jamais laissé glisser leur doigt à la surface d’une commode empoussiérée en en ressentant un émerveillement satisfait arrêtent ici leur lecture ; que ceux qui n’ont jamais contemplé avec ravissement, allongés au sol, la très lente chute des particules révélées par un rayon de soleil sautent à un autre article ; et que ceux qui n’ont jamais soigneusement lustré un fruit recouvert de pruine renoncent même à lire L’Incorrect (ont-ils seulement vécu ?) – car je chanterai aujourd’hui la poussière et ses mérites. [...]
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