Les sorcières sont à la mode. On ne compte plus les ouvrages sortis ces derniers mois sur la question. Quand l’Amazonie brûlait, les convents du monde entier jetaient des sorts pour éteindre les feux de forêts. Certainement moins efficaces que les canadairs de l’armée brésilienne, les néo-sorcières à cheveux bleus et personnalités atypiques revendiquées convoquent la déesse-mère et les divinités chtoniennes pour réenchanter un monde occidental trop longtemps confisqué par le patriarcat, ou, carrément, le blantriarcat. Alors ces sorcières sont-elles le retour de l’archaïque ou un énième exemple du caractère gaguesque de la post-modernité ? [...]
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