Candidat investi par le RN, vous entendez rassembler large contre votre adversaire mélenchoniste : comment cela est-il perçu sur le terrain ?
J’ai effectivement réalisé cette semaine un large rassemblement allant de la droite nationale au centre-gauche. J’ai reçu de nombreux soutiens, au-delà même de mes espérances, par exemple celui de Anne Amiel, ancienne conseillère départementale LR du canton de Pignan et ancienne adjointe au maire de Saint-Georges-d’Orques. Tout est mis en œuvre pour créer une dynamique capable de faire barrage à l’extrême gauche dans cette circonscription.
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Issu ddes LR, vous incarnez de fait, depuis votre élection l’an dernier aux côtés de Jean-Paul Garraud au Conseil régional d’Occitanie une véritable union des droites. D’ailleurs des élus du parti d’Éric Zemmour vous soutiennent ?
Exactement. Gilles Ardinat, ancien conseiller régional, me soutient sans réserve au second tour. Mais c’est aussi le cas de beaucoup d’adhérents et sympathisants des LR et de l’UDI. Nous pouvons avoir des divergences d’étiquettes ou de programme mais des convergences personnelles au service du bien commun. [...]
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