En 1996, à vingt-six ans à peine, Juan Manuel de Prada faisait une entrée fracassante sur la scène littéraire espagnole avec Les masques du héros, monumentale fresque de plus de 600 pages sur la bohème madrilène du début du XXe siècle jusqu’à la guerre civile. Un texte salué par ses pairs, Arturo Pérez-Reverte en tête, […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !