D’où part un roman comme L’Abîme ? D’abord, de mon chat. À une époque, je passais des heures à le regarder. J’ai pensé que ce serait un défi amusant : écrire un roman sur un type qui devient fou, ensorcelé par son chat. Ensuite, mon appart’, sa vibration étrange que je ressens depuis vingt-cinq ans, […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !