Avec Perfect days, la veine japonaise de Wim Wenders jusque-là plutôt documentaire (Tokyo-Ga en 1985) s’il- lustre pour la première fois dans toute une fiction. Bien minimale, ceci dit, puisqu’on y suit la routine d’un vieil employé au nettoyage des toilettes, solitaire et maniaque. Ses passions de collectionneur – livres et cassettes de rock seventies […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !