Une vaste tribune posée sur une avenue déserte, sauf pour les soldats qui y défilent, regards martiaux de rigueur tournés vers leur chef d’État. Sur l’estrade, l’air grave du président azerbaïdjanais Ilham Aliev cache mal sa satisfaction : il règle une affaire de famille. En 1994, son père et prédécesseur Heydar, apparatchik soviétique ayant pris […]
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