Nicolas d’Estienne d’Orves parle, ce qui étonne toujours chez un écrivain. De sa voix haut perchée coulent les noms d’auteurs, les titres et les citations, d’un débit rapide et clair ; un torrent de montagne. Sa prolixité accorte, d’où jaillissent parfois des formules particulièrement heureuses, diffuse son amour de la culture sous toutes ses formes. […]
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