Damien Saez ne meurt jamais. Idole des jeunes filles au début des années 2000, le chanteur aurait pu faire ronronner sa carrière à l’ombre des majors et s’enferrer dans une routine musicale bonne pour les radios. Il n’en est rien. Au contraire, il expérimente, délaisse le rock et se spécialise dans des albums-fleuves, désespérés et […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !