La sororité, c’est la nouvelle tarte à la crème du néo-féminisme: si les femmes ne peuvent pas se blairer, c’est la faute des hommes. C’est la faute d’une culture patriarcale, qui les aurait placées depuis toujours en rivales. Pour aller contre, il faut désormais huiler les mécanismes du col- lectif dans un entre-soi réconfortant. Parce que la grande idée du bien commun a été pulvérisée par la révolution antichrétienne, il ne reste que de petits vivre-ensemble, que des îlots communautaires où les fragilisés se protègent, finalement... de l’adversité.
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