Gérard de Nerval n’a pas toujours été culte. Avant d’être panthéonisé, vaporisé en grand romantique, détaillé en notices pour Lagarde et Michard, analysé sous toutes les coutures à l’aune de ses inspirations ésotériques et de ses fulgurances néo-païennes, l’écrivain fut d’abord considéré comme mineur – on le comparait volontiers aux honnêtes artisans Petrus Borel ou […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !