Commençons par retracer votre parcours…
Passons sur les tentatives de jeunesse, chansons non retenues pour Sheila ou Françoise Hardy, BD, drame, premier roman, etc., et des centaines de poèmes. Ayant découvert une maison d’édition à Bordeaux dont je suis originaire, je les ai envoyés par la poste. C’était le Castor Astral, qui les a acceptés. Plusieurs recueils ont paru, avec un accueil favorable. J’ai même eu un articulet dans L’Express. Le Castor avait la particularité d’être bicéphale, une antenne à Bègles, une à Pantin ; comme je faisais l’aller-retour Bordeaux-Paris, je suis devenu leur go-between. Je me suis investi dans leur revue, Jungle, et suis devenu apporteur de textes et d’auteurs. Parallèlement, je suis entré au Magazine littéraire, époque Jean-Jacques Brochier, et à Sud-Ouest-Dimanche, époque Pierre Veilletet. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !