Après avoir, au nom du politiquement correct, des valeurs de la République, de l’intransigeance laïque et du principe de parité, déboulonné les statues des méchants qui peuplaient les places et les avenues du beau pays de France, on décida courageusement de s’attaquer aux noms des rues et des écoles. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !