Romain Lucazeau n’est jamais là où on l’attend. Après une première saga de pur space opera – hommage au pape du genre, Iain Banks, où des Intelligences Artificielles désœuvrées et amatrices de culture gréco-latine dérivaient dans l’espace en quête de leurs géniteurs, il s’était déjà totalement remis en question avec La Nuit du Faune, méditation cosmologique et poétique qui reprenait à son compte les dialogues philosophiques de la Renaissance. Une œuvre à la fois ambitieuse et intimiste, à mille lieues des canons de la SF actuelle. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !