En 1977, un quadra vaguement fugitif retrouve son fils et tente une nouvelle vie en plein Brésil de la dictature. Dès l’entame – un contrôle policier – L’Agent secret se prend les pieds dans sa coolitude pop avec distension du temps à la Sergio Leone. Ça dilate beaucoup chez Kleber Mendonça Filho, et la moitié du long-métrage semble engloutie dans les présentations du héros à d’autres antifas qu’on ne reverra jamais. […]
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