La droite, c’est le pouvoir, la force, l’autorité, la violence, le mépris de classe, la bourgeoisie, la vulgarité, les policiers, l’arbitraire de la justice, le racisme, le terroir; le camembert est fasciste, même acheté à l’AMAP. Résumons-nous: la droite, c’est l’oppression. Non, c’est trop court. La droite, c’est l’oppression satisfaite. Et même, la droite, c’est l’oppression qui se présente comme la justice. Voilà. Mais quels salauds ! L’oppression qui exige d’être reconnue comme un bien, qui se définit comme un bien, qui entend donc perpétuer ce bien. La droite, c’est l’oppression qui exige que l’opprimé se satisfasse de son sort et même concoure activement au maintien de l’ordre oppressif. Un peu comme Mai 68. Un peu comme les enfants de Mai 68. Un peu beaucoup, même. Un peu comme Hidalgo qui célèbre le tortionnaire Che Guevara et pond des arrêtés administratifs plus souvent que Louis XIV, ce fragile, n’écrivait de lettres de cachet. (Lire la suite en vous abonnant)
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