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Lundi 26 novembre, deux-cents personnes s’étaient sont rassemblées à l’étage du Cardinal, un bar du IXe arrondissement de Paris, pour assister à la soirée de rentrée du Cercle Audace en présence de Marion Maréchal. Entretien avec son président, François de Voyer.
Vous avez relancé au mois de novembre le Cercle Audace : de quoi s’agit-il ?
C’est l’association de gens de bonne volonté qui veulent en finir avec les échecs électoraux des droites. Indépendant de toute formation politique, notre conseil d’administration compte des adhérents des LR, du RN, de DLF et du PCD qui travaillent ensemble, en bonne intelligence, bénévolement, pour préparer la victoire de 2022. Nous croyons que les idées qui nous rassemblent – protection de notre identité contre la double mâchoire de l’immigration et du transhumanisme, attachement à la souveraineté, défense des libertés en particulier d’expression et d’entreprise, rayonnement du principe de responsabilité sur les sujets éthiques et environnementaux – surpassent nos petites querelles.
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Quelle est votre ambition ?
De grandir, de s’unir avec d’autres associations de bonne volonté, et de forcer la main des appareils pour préparer la grande coalition de demain, celle qui nous permettra de bazarder la machine infernale du progressisme. Plutôt jeunes et diplômés, chefs d’entreprise et passionnés, nos membres vont plancher sur tous les sujets qui peuvent fâcher les droites, en particulier sur le plan économique. Nous allons montrer que ces différends sont dérisoires face au grand défi de demain : que la France puisse rester la France, aussi bien sur le plan démographique que culturel. Nous espérons apaiser les chamailleries entre conservateurs et libéraux pour garder toutes nos forces pour sauver la patrie ! Notre première invitée, Marion Maréchal, directrice de l’ISSEP, qui est venue parler le 26 novembre, est une incarnation de cette capacité à dépasser des clivages négligeables pour mener les batailles essentielles.
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