SOS Racisme fête cette année son 35e anniversaire. Le recul historique aidant, il apparaît désormais que cette association d’obédience socialiste fut avant tout une arme de déculturation massive, et la jeunesse française sa principale victime.
Sous couvert de lutter contre le racisme, l’antisémitisme et toutes-les discriminations, il s’agissait d’adapter de force la psyché nationale au multiculturalisme auquel elle demeurait rétive d’instinct.
« Un peuple qui connaît ses classiques ne se laisse pas jeter dans les poubelles de l’histoire » rappelle souvent Renaud Camus pour qui « la Grande Déculturation » fut le préalable nécessaire au « Grand Remplacement ».
Les moyens employés furent sordides mais d’une grande efficacité : recours systématique à la reductio ad hitlerum, rituelle convocation des « heures les plus sombres », racialisation de la question sociale, pratique éhontée du double bind à l’échelle collective (promotion « en même temps » du différentialisme et de l’assimilation ; affirmation simultanée de la non-existence des races et de leur égalité, etc.) ; par suite, la haine de la France s’institutionnalisa, le roman national fut mis en charpie, les notions mêmes d’histoire, de généalogie, de nation, de tradition se chargèrent d’opprobre ; enfin, par extension (...)
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