Sarajevo, Bosnie-Herzégovine, 1995. La ville est assiégée depuis trois ans déjà, et la vie des habitants rythmée par les combats. Seuls de rares respirations leur sont accordées : un film, une pièce de théâtre… ou un concert. Justement, les membres du mythique groupe industriel Laibach, accompagné de leur collectif artistique le NSK (pour Neue Slowenische Kunst, soit « Nouvel Art Slovène ») se rendent à Sarajevo pour y donner deux concerts à un moment particulièrement critique : le 20 novembre, veille de la signature du traité de paix, et le jour suivant. [...] Lire la suite de l'article sur L'Incorrect et en ligne pour les abonnés.
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