Six mois après l’orage, nous fûmes dans une situation telle que le mariage était la seule solution… » Placés dans la queue du supermarché à trois rangs de la grosse dame qui arrivait à proximité des caisses, un sac de truites à la main, E. et Zo’ ne perdaient pas une miette des confidences qu’elle chuchotait d’une voix de stentor à son plus proche voisin, apparemment soucieuse de faire connaître urbi et orbi les frasques et les fastes de sa jeunesse enfuie. [...] La suite de cet article est à retrouver dans le dernier L'Incorrect et en ligne pour les abonnés.
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !