[vc_row][vc_column][vc_column_text css=”.vc_custom_1562176034129{margin-right: 25px !important;margin-left: 25px !important;}”]
L’Incorrect c’est un cancer en métastase. Parce qu’il attaque, parce qu’il gagne du terrain, parce qu’il fait avancer le débat. Parce qu’il permet à des individualités talentueuses de rejoindre le mouvement conservateur dans un élan commun.
Ce qui fait à la fois la force et la faiblesse du conservatisme, c’est qu’il est à la fois idéologie politique et attitude personnelle face à l’existence. Soit une règle qui prend en compte la dimension holiste de l’Homme, qu’il s’agisse d’administrer une cité ou mener sa vie. C’est pour cette raison que L’Incorrect met en valeur des personnalités et des idées. C’est pour cette raison que votre mensuel préféré commet des numéros, des émissions, mais aussi des soirées, et à l’occasion des dîners.
C’est bien L’Incorrect qui réunissait cette petite foule qui débordait largement sur le trottoir de la rue Daguerre. Parmi elle, des visage connus, d’autres moins, et d’aucuns très. L’affluence plus grande que prévue rendait l’attente pour se faire servir quelque chose particulièrement longue. L’occasion pour Marion Maréchal venue en moto de Saint Cloud avec Vincenzo Sofo d’échanger avec quelques lecteurs dans la file d’attente. Non loin, Richard de Seze toujours créatif, trichait en envoyant sa fille se faufiler pour lui apporter une pinte. Technique patriarcale qui ne manque pas d’une certaine efficacité, quoique la demoiselle prit comme taxe au passage sa propre boisson avec la carte bancaire de notre collaborateur.
L’Incorrect, c’est Patrick Eudeline à côté de Jean-Frédéric Poisson devant Jean-Philippe Mallé, et derrière un journaliste de l’OBS, écoutant tous le discours de Laurent Meeschaert. L’Incorrect c’est Valérie Boyer croix autour du cou qui converse avec des lecteurs en compagnie de notre rédacteur en chef politique Bruno Larebière. C’est Serge Federbusch venu deviser sur Paris. C’est Jacqueline Taïeb qui discute sans façons avec l’ancien batteur d’un excellent groupe de metal tandis qu’Eugénie Bastié croise Laurent Dandrieu. C’est cette bande de jeunes journalistes de ******, du Figaro, de L’Incorrect et de Limite qui discutent littérature en vidant du blanc dans un verre à bière, siphonné depuis la bouteille d’un journaliste de Boulevard Voltaire. C’est aussi ces élus moins médiatisés et ces collaborateurs d’élus venus réseauter et se rafaîchir. C’est aussi des journalistes de gauche, venus observer cette agitation, et qui commencent malgré eux à se laisser gagner par cet esprit anarchiste au service de convictions très sérieuses.
L’Incorrect c’est ce mensuel qui dresse des ponts et pas des murs entre les différentes chapelles de la droite. Dans son discours informel, Laurent Meeschaert félicite sa rédaction pour le travail accompli en un peu plus d’un an et demi. Le magazine papier a stabilisé sa formule et se vend bien, la présence sur les médias audiovisuels est en spectaculaire progression, les personnalités qui viennent parler à L’Incorrect sont de plus en plus variées et intéressantes, et le site internet devient incontournable. Au tour de Jacques de Guillebon de remercier son patron pour sa gentillesse et son travail. L’Incorrect c’est aussi l’amitié.
Suivez nous sur Twitter, Facebook et Instagram
L’Incorrect c’est l’esprit d’offensive. Nous sommes partis de rien, alors nous ne nous croirons jamais arrivés. Le comité éditorial a conçu L’Incorrect comme le trait d’union entre des histoires, celles de personnalités de talent qui œuvrent pour le bien commun ; et la grande Histoire, celle des peuples, quand le destin des uns devient un destin collectif. Merci d’être venus ce soir trinquer à la santé de la droite. Merci de nous lire, de nous regarder par écrans interposés. À chaque échéance, L’Incorrect sera la pointe en tungstène du conservatisme.
Louis Lecomte
[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]