Plutôt social-démocrate dans sa jeunesse, davantage conservateur à la fin, « modérément moderne » dites-vous en conclusion : comment décririez-vous le libéralisme d’Ortega ? Ortega s’efforce de tracer les nouvelles données d’une éthique du libéralisme qui seraient susceptibles de répondre aux défis posés par la société industrielle et technicienne dont il perçoit les errements. Il […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !