« Bien sûr, je voudrais conserver la paix, mais je dois aussi vous dire que nous n’avons pas le choix ». Les mots sont forts, terriblement forts ; ils ont été prononcés par Aleksandar Vucic, président de la République de Serbie, le 13 octobre, à Raska, devant une assemblée de représentants des Serbes du Kosovo. Quelques instants plus tard, devant les troupes de la garnison de la ville en tenue de combat, le même Vucic lançait le « Nema Predanje », « Nous n’abandonnerons pas », mot d’ordre des Serbes qui refusent l’arrachement du Kosovo, qu’on retrouve tagué sur les murs un peu partout en Serbie centrale et dans les enclaves serbes au Kosovo même. [...]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !