Comme tous les films à l’ambition démesurée et au destin rocambolesque, Caligula est d’abord un rêve de producteur. Et pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit du sulfureux Bob Gucionne, magnat de la presse érotique devenu milliardaire en quelques années grâce à la création de Penthouse, magazine qui se targuait de marcher sur les platebandes de Playboy […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !