Un corbillard roule sur une route embrumée. Le cercueil à l’arrière ménage une ouverture dévoilant le visage d’un jeune homme. Une voix off résonne, lente et hypnotique, qui va dresser le portrait parcellaire d’une ville Medellín et de la frange la plus désespérée de ses habitants, jeunesse queer promise au trépas. Pour son premier documentaire sous hautes influences, de Carax à Weerasethakul, Theo Montoya frappe fort, tant le résultat convainc, ensemble et détails.
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