Après le polar (La Nuit nous appartient), le mélo (Two lovers) et la science-fiction (Ad Astra), James Gray ose l’autobiographie. Un choix surprenant pour ce cinéaste discret, et qui n’a cessé tout au long de sa très belle filmographie d’habiller ses questions existentielles derrière des films de genre. Armageddon Time nous plonge dans le New York des années 80 à la suite du jeune Paul Graff (roux aux yeux bleus comme Gray) qui se lie d’amitié avec Johnny, un camarade de classe mis au ban parce que noir. [...]
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