Sur le papier, un projet plutôt alléchant : importer le bon vieil argument fantastique du « jour sans fin » dans l’univers du salariat japonais. Quasi carcérale et ritualisée comme elle est, il y avait fort à parier que la vie de bureau des salarymen nippons épouse avec force l’argument métaphysique de la boucle temporelle. […]
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