Les films de Luc Besson appartiennent à un monde à part où on ne peut les mesurer qu’à leurs pareils, d’autres séries Z à gros budgets, mais dont les résultats des investissements ne sont même pas décelables à l’écran. Dans cet ordre, DogMan bénéficie d’un statut éminent de par la présence de Caleb Landry Jones. […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !