Prototype du film « puissant », L’Amour et les forêts se donne une rare et dure mission, vraiment courageuse dans nos temps patriarcaux, celle de dévoiler l’emprise au sein d’un couple lambda, bêtement heureux avant que n’éclate la volonté de contrôle de Monsieur (que celui qui a pensé Madame prenne la porte !) et avec elle peur, douleur, malheur. Le conte de fées y est passé à l’émeri de la masculinité toxique qui sommeille dans chaque brave gars, les meilleurs l’ignorant, les pires y succombant (c’est-à-dire à peu près tous, si l’on en croit le cinéma français). [...]
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