Raide et coloré, mutique et rock’n’roll, le cinéma d’Aki Kaurismäki a souvent buté sur des effets de signature un peu trop envahissants, sans atteindre toutefois le mercantilisme repoussant d’un Almodóvar. Son nouveau film, Les Feuilles mortes (Prix du jury au dernier Festival de Cannes) fonctionne à l’économie. Le découpage ne s’autorise aucun plan inutile. La […]
La suite est réservée aux abonnés. Déjà abonné ? Se connecter
Vous souhaitez lire la suite ?
Débloquez tous les articles de l’Incorrect immédiatement !