Pour exister face à son petit ami artiste, une serveuse décide de s’auto-intoxiquer afin d’attirer l’attention sur elle. Critique puritaine du narcissisme à l’heure d’Instagram, Sick of myself prend le prétexte d’une comédie soi-disant grinçante pour se vautrer dans les grandes largeurs. L’obstination de l’héroïne devient celle du réalisateur Kristofer Borgli, lequel, ne pouvant plus quitter le bateau d’un film démarré sur une idée discutable – illustrer l’expression « crier au loup » – décide de le rendre le plus mauvais possible. [...]
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