Le tropisme du cinéma espagnol actuel pour la nature et le monde paysan n’est plus à démontrer après As Bestas (Rodrigo Sorogoyen), Nos soleils (Carla Simon), et Venez voir (Jonás Trueba). Suro de Mikel Guerra s’inscrit dans cette tendance, en beaucoup moins opérant. Un couple de néo-ruraux se délocalise dans une propriété de chênes-lièges dont madame enceinte a hérité ; monsieur tente de jouer à l’intendant parmi de rudes Catalans et quelques Marocains d’appoint dont un jeune un peu paumé qu’il va prendre sous son aile. [...]
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