Le souffle du dardennisme n’en finit pas de projeter sa poussière sur les cinématographies européennes. Polonais d’adoption, Magnus von Horn livre avec Sweat un énième portrait de femme forte au dehors - brisée dedans. Pour tout programme la caméra colle aux basques de son sujet, une influenceuse fitness à sourire Colgate, mais tellement triste au fond (sa maman ne l’aime pas). La société du spectacle n’est envisagée qu’au ras des pâquerettes, par sa réversibilité : Sylvie vit de s’exhiber mais ne supporte pas qu’un stalker se branle devant elle. [...]
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