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[Cinéma] When evil lurks : la déchéance du cinéma d’horreur

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Publié le

2 avril 2024

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La sortie du terriblement décevant When Evil Lurks, pourtant auréolé d’une réputation sulfureuse après son passage en festivals, est l’occasion de se pencher un peu sur les récentes mutations du cinéma d’horreur. Un cinéma trop longtemps cantonné au genre, qui rêve désormais de gagner ses galons auprès d’un public plus large et d’avance sensibilisé à sa cause, en se rêvant plus adulte, plus intello, plus tout. On vous spoile : c’est raté.
© When evil lurks
C'est l’histoire d’une success story comme Hollywood se plaît tant à les fabriquer. Et tant pis si elle fait de l’ombre... à Hollywood, justement. Le studio A24, encore inconnu par le grand public il y a cinq ans, est devenu incontournable du moins si l’on veut être à la mode et s’inscrire dans un genre qui a fait école : « l’horreur élevée », ou elevated horror. Soit une nouvelle étiquette fomentée de toutes parts par la critique ou par les pontes d’A24 qui semblent autant doués en communication virale que dans l’art d’emballer du réchauffé avec esbroufe. A24 se fait connaître dans les années 2010 en distribuant quelques films indépendants à succès, dont le rigolo Spring breakers d’Harmony Korine.
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