Même si on est contre, cette disposition législative a au moins le mérite de la clarté. Mais le délit a été étendu à internet après une violente polémique, via une loi du 1er décembre 2016. Ce texte, qui prévoit un maximum de 30 000 euros d’amendes et deux ans d’emprisonnement pour les contrevenants, a été largement décrié, aussi bien par la droite parlementaire que par Mgr Pontier, alors président de la Conférence des évêques de France. [...]
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